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Avantage de la combustion inversée : Chaudière bois bûches LCG 20 à 50 kW

La combustion inversée associée au phénomène de gazéification permet un rendement optimum et une maîtrise de la combustion dans la chaudière.
 

Principe de la combustion inversée et de la gazéification

Historiquement le principe de combustion des chaudières est la combustion montante. Le rendement est médiocre et la combustion des bûches n'est pas maitrisable car tout le bois s'enflamme et se consume en même temps.

La combustion inversée et la gazéification améliorent considérablement le rendement et la restitution de l'énergie est mieux maitrisée pendant la combustion.

La combustion se fait sous les bûches et la flamme est aspirée par le bas, ce qui évite une combustion trop rapide du chargement de la chaudière.

1 : Séchage

Les bûches asséchées en partie supérieure à des températures comprises entre 100°C et 160°C : l’eau contenue dans le bois s’évapore.

2 : Première combustion

Celle-ci nécessite un apport d'oxygène (Ap). Les températures sont comprises entre 1 100°C et 1 200°C.

Cette combustion dégage la chaleur nécessaire au séchage et à l’étape suivante de gazéification. Elle nécessite un fort apport en oxygène (Ap).

Maîtrise de l'apport d'air par l'intermédiaire d'un régulateur de tirage à chaînette

3 : Gazéification et deuxième combustion

A la suite de la première combustion, se produit le phénomène de la gazéification qui consiste en la production du syngas qui est un mélange d'hydrogène (H2) et d'oxyde de carbone (CO).

Au contact de l'apport secondaire d'oxygène (As), le syngas s'enflamme. C'est la deuxième combustion.

4 : Cendres

Les particules imbrûlées s'accumulent dans le foyer entouré des briques réfractaires

5 : Parcours de fumées

Le parcours des gaz imbrûlés (fumées) est étudié pour favoriser un maximum d'échange de chaleur avec le volume d'eau de la chaudière. Un extracteur de fumée en partie finale de ce parcours combat les pertes de charge et empêche un refoulement de ces fumées (F).

Description de la chaudière bois bûche LCG

1 : Turbulateurs haute efficience

Permet un nettoyage aisé des turbulateurs (dans les tubes échangeurs) en actionnant une manette externe.
Ce système permet d’obtenir un haut niveau de rendement de la chaudière en maintenant l’échangeur de fumée constamment dégagé des exsudats de combustion.

2 : Panneau de contrôle

Interface utilisateur simple et intuitive.

Equipé d’un écran LCD lumineux et de 4 boutons de commande. Il donne une grande facilité de paramétrage et un accès simplifié aux différents menus.

3 : Conduite sécurisée d’évacuation des fumées

Aspire la fumée risquant de s’échapper pendant l’étape de chargement de la chaudière. Evite le dégagement de Co2 et de résidus de combustion dans la chaufferie

4 : Volume de chargement et protections internes

La chaudière LCG permet de contenir un volume important de combustible (> 100 litres) et d’accepter des bûches d’une longueur de 50 cm. Les plaques assurant la protection interne de la chaudière peuvent être retirées facilement pour le nettoyage.

5 : Régulation affinée de l’air (comburant)

L’air primaire et secondaire est canalisé au cœur de la combustion via des canaux dédiés et des injecteurs situés dans le brûleur

6 : Haut rendement

La chambre de combustion de la chaudière LCG est construite pour assurer des émissions très faibles ainsi que des performances élevées pendant le fonctionnement. L’intervention de nettoyage est facilitée grâce à l’accès offert par sa grande porte inférieure.

7 : Ventilateur d’extraction à haute efficacité

Assiste et régule efficacement le processus de combustion en assurant une dépression constante et proportionnée dans le foyer de la chaudière.

8 : Système de pilotage efficace

Le contrôleur de la chaudière LCG est simple et complet.

Pour correspondre au besoin de l’installation, il pilote le débit de l’extracteur en modulant sa vitesse (mode réduit jusqu’à 50 % Pn) Il prend en compte en plus de la température de la chaudière, la température des fumées.

Ce contrôleur pilote le débit de l’extracteur en modulant sa vitesse (mode réduit jusqu’à 50 % Pn). Il prend par ailleurs en compte à la fois la température de la chaudière et la température des fumées. Enfin, il pilote la pompe de recyclage (ou relève de température) ainsi que la sonde du ballon tampon (stockage d’eau chaude).

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